Morphée m'a quitté, il m'a abandonné
Seule, devant une explosion de pensées.
La nuit n'est plus le repos tant espéré,
Seulement le début d'un combat acharné.
Les heures passent et s'envolent, en laissant
Mon esprit prisonnier de ce corps pesant.
Des images morbides, joyeuses et tristes s'emmêlent, et
Je désespère, en attendant le retour des bras de Morphée.
Loin de ces images incontrôlées,
J'essaie en vain de me reposer.
Mais quelqu'un vient chaque soir me hanter,
Et ne me fait espérer qu'une chose : rêver.
M.F.